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Les quelque 1900 travailleurs de la minière IOC à Sept-Îles et Labrador ont rejeté le projet de contrat de travail qui leur avait été soumis à la suite d'une entente de principe.
Les quelque 1900 travailleurs de la minière IOC à Sept-Îles et Labrador ont rejeté le projet de contrat de travail qui leur avait été soumis à la suite d'une entente de principe.
Le Syndicat des métallos, affilié à la FTQ, qui les représente, a fait savoir que les membres des trois sections locales concernées avaient rejeté le projet de convention collective qui leur avait été soumis.
Dans le cas des 400 travailleurs du chemin de fer QNS&L et du port de la minière IOC, le rejet atteint même 96,6 %. Et avant eux, les 1500 travailleurs de la mine IOC à Labrador avaient également refusé le projet de contrat de travail.
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Le Syndicat des métallos affirme qu'il va retrousser ses manches et se rasseoir à la table de négociation pour tenter de satisfaire l'appétit de ses membres.
«Alors que l'inflation est importante, les membres demandent des conditions de travail en conséquence. Les membres ont fait comprendre qu'il en manque encore pour se rendre jusqu'à la ligne d'arrivée et conclure le contrat de travail», a commenté le représentant syndical des Métallos, Marc Tremblay.