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L’ancien ingénieur Simon Houle a obtenu une libération conditionnelle après avoir passé un peu plus de trois mois en prison pour agression sexuelle et voyeurisme.
L’ancien ingénieur Simon Houle a obtenu une libération conditionnelle après avoir passé un peu plus de trois mois en prison pour agression sexuelle et voyeurisme, a confirmé la Commission québécoise des libérations conditionnelles (CQLC).
L’homme de 30 ans a agressé sexuellement une femme lors d’un évènement en 2019 à Trois-Rivières. Il a aussi pris en photo les parties intimes de la victime.
Simon Houle avait obtenu une absolution conditionnelle pour les gestes qu’il avait commis, provoquant un tollé au Québec. La Cour d’appel a finalement annulé la décision du juge Poliquin et l’a condamné à 12 mois de prison ferme au début de l’année.
Rappelons que Simon Houle a également plaidé coupable à un non-respect de condition en avril dernier, écopant de 75 heures de travaux communautaires. Lors de l’été 2022, Houle a empoigné les fesses d’une femme sans son consentement alors qu’il était en voyage à Cuba.
Ainsi, la CQLC a accordé une sortie préparatoire à la libération conditionnelle à Simon Houle, mentionnant les progrès qu'il a effectués lors de ses thérapies et le fait qu'il reconnaisse désormais la gravité des actes qu'il a commis.