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Politique

Les personnes avec un «handicap invisible» ont du mal à se trouver un logement

Les handicaps invisibles comprennent par exemple les troubles de santé mentale, les déficiences visuelles ou auditives et les troubles cognitifs.

Arielle Kayabaga, Member of Parliament for London West and Minister of Public Safety Marco Mendicino make an announcement in Ottawa on Tuesday, March 21, 2023. THE CANADIAN PRESS/Sean Kilpatrick
Arielle Kayabaga, Member of Parliament for London West and Minister of Public Safety Marco Mendicino make an announcement in Ottawa on Tuesday, March 21, 2023. THE CANADIAN PRESS/Sean Kilpatrick

Source

La Presse canadienne
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Les députés fédéraux ont voté à l'unanimité, jeudi, en faveur d'une motion qui exhorte le gouvernement, dans sa stratégie nationale sur le logement, à répondre aux besoins des personnes qui présentent des «handicaps invisibles».

La députée libérale Arielle Kayabaga a présenté cette motion qui demande au gouvernement d'inclure un expert en matière de handicap au sein du Conseil national du logement, un organisme créé en vertu de la Loi sur la stratégie nationale sur le logement, adoptée en juin 2019.

La motion demande également au gouvernement de reconnaître officiellement les obstacles auxquels sont confrontées les personnes handicapées lorsqu'il s'agit de trouver un logement.

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Les handicaps invisibles comprennent par exemple les troubles de santé mentale, les déficiences visuelles ou auditives et les troubles cognitifs.

Mme Kayabaga avait déclaré en Chambre, en octobre dernier, qu'elle avait travaillé avec une organisation à but non lucratif de l'Ontario pour élaborer cette motion. Or, elle avait appris alors qu'il y avait une liste d'attente de 40 ans pour que les personnes ayant une déficience intellectuelle se trouvent un logement dans cette province.

La députée de London avait également souligné que le taux de pauvreté chez les adultes en âge de travailler qui ont un handicap est deux fois plus élevé que chez ceux qui n'ont pas de handicap.

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