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L'enquête publique sur le train léger d'Ottawa a révélé des défaillances persistantes en matière de leadership, de partenariat et de communication dans la construction et l'entretien du projet.
Des pressions politiques ont entre autres fait en sorte que le lancement du service a été précipité en abaissant les critères d'essais.
Le rapport du commissaire William Hourigan blâme aussi la Ville d'Ottawa d'avoir opté pour une technologie qui n'avait pas été éprouvée par le passé.
Le nouveau maire Mark Sutcliffe promet qu'il y aura des changements radicaux en lien avec la phase 2 du projet.
«Il appartient au conseil municipal et à la direction de la ville de s'assurer qu'il y aura la bonne expertise en place et plus de transparence et de responsabilité à l'avenir.»
Rappelons que la phase 1 du système de train léger d'Ottawa a coûté au bas mot 2,1 milliards $.