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Les services essentiels sont assurés, puisqu'il s'agit du secteur de la santé.
Le personnel infirmier d'Héma-Québec débraie pour la journée de vendredi à Québec, alors que lundi, ce sera celui de Montréal qui tiendra à son tour une journée de grève.
Les services essentiels sont assurés, puisqu'il s'agit du secteur de la santé. Les parties se sont entendues à cet effet plus tôt ce mois-ci.
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La direction d'Héma-Québec a fait savoir que ces deux grèves engendrent «l'annulation d'un nombre limité de rendez-vous en centres fixes ainsi que dans certaines collectes mobiles».
Les services essentiels sont assurés, puisqu'il s'agit du secteur de la santé. Les parties se sont entendues à cet effet plus tôt ce mois-ci. Et le Tribunal administratif du travail a jugé que les services essentiels proposés «sont suffisants pour garantir que la santé ou la sécurité publique ne sera pas mise en danger par la grève».
Vendredi, c'est un syndicat de la Fédération de la santé et des services sociaux, affiliée à la CSN, qui tient sa journée de débrayage, de 7 h à 23 h, après avoir tenu une demi-journée en février. Ce Syndicat des infirmières et infirmières auxiliaires compte 75 membres.
Lundi, ce sera au tour du Syndicat du personnel infirmier, rattaché à la CSQ (Centrale des syndicats du Québec) de débrayer de 00 h 01 à 23 h 59 à Montréal. Il compte 132 membres.
Le principal point en litige est la parité de rémunération avec le personnel infirmier du secteur public.
Les conventions collectives des deux syndicats, qui ont formé une alliance pour la présente négociation, sont échues depuis le 31 mars 2019.
Les pourparlers entre les parties ne sont toutefois pas rompus. Des rencontres de conciliation sont prévues avec le syndicat de la CSN les 13, 15 et 16 mars, de même qu'avec celui de la CSQ les 17, 22 et 30 mars.
Héma-Québec s'occupe de la cueillette, du transport et de la distribution du sang et de ses dérivés.