Début du contenu principal.
Le PQ demande au gouvernement de soutenir financière la Ville de Québec et le SPVQ pour faire face aux événements de violence liés au crime organisé.
Le Parti québécois demande au gouvernement d'agir pour soutenir la Ville de Québec et le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) dans leur lutte à la violence armée et au crime organisé en leur versant une aide financière spéciale.
Cette aide a été maintes fois réclamée par la Ville de Québec qui fait face à une augmentation de la violence liée au crime organisé.
À voir aussi : Québec est-elle devenue plus dangereuse? Le SPVQ s’explique
Le PQ croit que Québec doit intensifier les efforts et l'action en matière de prévention et de lutte à la criminalité à Québec, mais aussi dans l'ensemble de la province.
«Nous ne pouvons pas permettre que la situation se détériore. Le gouvernement doit agir pour résorber cette hausse de la criminalité, combattre les groupes criminels organisés et maintenir le sentiment de sécurité », affirme Pascal Paradis, député de Jean-Talon.
«La violence entre groupes criminalisés préoccupe évidemment le SPVQ. Cependant, nous déployons tous les efforts et les ressources à notre disposition afin d’encadrer la situation. Le SPVQ prend la situation au sérieux et souhaite être en mesure de faire davantage de prévention pour éviter de malencontreux événements» a notamment mentionné à Noovo Info le SPVQ dans un courriel.
Le recrutement au sein des forces policières au Québec est actuellement difficile en raison notamment du fait que la capacité maximale de formation de l'École nationale de police du Québec (ENPQ) est atteinte. Le Parti québécois propose donc aussi que le Québec «se donne les moyens d'assurer une relève adéquate et compétente» pour les différents corps policiers.
«La capacité de formation de nos policiers est insuffisante pour répondre aux défis actuels. Il est urgent d'investir dans la formation pour assurer une relève compétente et en nombre suffisant afin de protéger efficacement nos citoyens», conclut Pascal Paradis.
À voir aussi : La campagne de recrutement massive de la SQ inquiète en région