Début du contenu principal.
Sa démission est demandée.
L'organisme l'Action boréale de l'Abitibi-Témiscamingue veut la tête du ministre de l'Environnement.
Les dirigeants le qualifient de «ministre irresponsable de l'environnement» et exigent qu'il soit retiré de ses fonctions actuelles.
Il lui reproche de ne pas être le chien de garde de l'environnement, comme il le devrait.
L'Action boréale cite une trahison des citoyens par la Fonderie Horne, une lâcheté entourant les caribous forestiers et des mensonges autour des aires protégées.
Le président de l'Action boréale, Henri Jacob, qualifie le ministre Benoit Charette de chien de poche:
Les décisions du ministre décriées par l'Action boréale: