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Pierre Collin, qui a connu une longue et prolifique tant sur les planches de théâtre qu'au petit et au grand écran, s'est éteint, quelques jours après avoir soufflé ses 85 bougies.
L'acteur montréalais Pierre Collin, qui a connu une longue et prolifique tant sur les planches de théâtre qu'au petit et au grand écran, s'est éteint, quelques jours après avoir soufflé ses 85 bougies.
Au cinéma, les Québécois se souviendront de Pierre Collin pour ses rôles dans La Grande Séduction, Le sens de l’humour, De père en flic, Ésimésac et bien plus, tandis qu'à la télévision, ses apparitions dans Madame Lebrun, Unité 9, Toute la vérité, Virginie, Rumeurs et La Vie, la vie auront marqué les esprits.
«Rempli d'humanité, il était très apprécié de ses collègues. Nous offrons nos sincères condoléances à sa famille, ses proches ainsi qu'à tous les collègues qu'il a côtoyés au fil des années», a écrit l'Union des artistes (UDA) dans une publication sur Facebook vendredi soir.
Dès les premières années de sa carrière qui s'étendra sur six décennies, Pierre Collin a aussi joué un rôle primordial dans la fondation du Théâtre d'Aujourd'hui, une institution historique toujours bien vivante pour faire la promotion de la dramaturgie québécoise sous le nom du Centre du Théâtre d'Aujourd'hui.
Dans son message, l'UDA n'a d'ailleurs pas manqué de souligner le fait que Pierre Collin a «participé à de grands projets tant au théâtre, à la télé qu’au cinéma».
«Nous nous souviendrons de sa puissance sur scène, de sa générosité et de son sourire dans le travail. C’était un acteur phénoménal», ont ajouté Les Productions Kléos dans un message relayé sur Facebook.
Pour cette entreprise théâtrale, Pierre Collin était «leur» Georges dans la production «Le chant de Georges Boivin» de Martin Bellemare, mise en scène de Mario Borges.