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Société

Ingérence: des secrets peuvent être levés au fil du temps, dit le directeur du SCRS

Le grand patron du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) a mentionné jeudi la possibilité de divulguer, avec le passage du temps, certaines informations qui étaient considérées «confidentielles», «secrètes» ou «très secrètes».

Dan Rogers, conseiller adjoint en matière de sécurité nationale et de renseignement, Bureau du Conseil privé, à gauche, David Vigneault, directeur de l'Agence canadienne du renseignement de sécurité, et Alia Tayyeb, chef adjoint du renseignement électromagnétique, Centre de la sécurité des télécommunications Canada, comparaissent aux audiences de l'Enquête publique sur l'ingérence étrangère dans les processus électoraux fédéraux et les institutions démocratiques, à Ottawa, le jeudi 1er février 2024.
Dan Rogers, conseiller adjoint en matière de sécurité nationale et de renseignement, Bureau du Conseil privé, à gauche, David Vigneault, directeur de l'Agence canadienne du renseignement de sécurité, et Alia Tayyeb, chef adjoint du renseignement électromagnétique, Centre de la sécurité des télécommunications Canada, comparaissent aux audiences de l'Enquête publique sur l'ingérence étrangère dans les processus électoraux fédéraux et les institutions démocratiques, à Ottawa, le jeudi 1er février 2024.

Le grand patron du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) a mentionné jeudi la possibilité de divulguer, avec le passage du temps, certaines informations qui étaient considérées «confidentielles», «secrètes» ou «très secrètes».