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Politique

Est-ce que les mairesses de l'Abitibi-Témiscamingues ont du plaisir à gérer?

Les réseaux sociaux sont durs sur les politiciens de nos jours.

La mairesse de Rouyn-Noranda, Diane Dallaire (Archives).
La mairesse de Rouyn-Noranda, Diane Dallaire (Archives).
François-Olivier Dénommé
François-Olivier Dénommé

L'année 2024 commence à peine et apportera son lot de défis aux élus de tous les niveaux.

C'est encore plus vrai en politique municipal, alors que les politiciens sont proches des citoyens.

Les mairesses des grandes villes de l'Abitibi-Témiscamingue ont beaucoup d'ouvrage.

Elles doivent composer avec des réseaux sociaux parfois cruels et des dossiers chauds, comme la Fonderie Horne à Rouyn-Noranda ou l'itinérance à Val-d'Or.

Est-ce que les mairesses ont du «fun» dans leurs fonctions?

La réponse semble positive selon les dires de Diane Dallaire, mairesse de Rouyn-Noranda. «J'ai du plaisir à servir les citoyens qui m'ont élus. Ce ne serait pas possible sans les autres membres du conseil et les équipes de direction. C'est un travail d'équipe», dit-elle.

Même son de cloche auprès de sa collègue Céline Brindamour, mairesse de Val-d'Or. « Le fun, c'est quand tu vois l'amélioration et le bien qu'on peut faire avec nos décisions. Ça demeure une responsabilité importante», souligne-t-elle.

François-Olivier Dénommé
François-Olivier Dénommé