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Société

L'Italie adopte les noms de famille composés, alors que le Québec les délaisse

Au début des années 90, plus d’un bébé québécois sur cinq recevait un nom de famille composé. Aujourd’hui en âge de procréer, la «génération trait d’union» entretient toutefois une relation tortueuse avec ses noms de famille.

En Italie, les enfants porteront désormais «par défaut» les noms de famille de leurs deux parents, plutôt que celui du père uniquement. Légale au Québec depuis 1981, la pratique de transmettre un nom double peine toutefois à traverser l’épreuve du temps.