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Les grèves qui seront déclenchées lundi, à moins d'une entente à la table de négociation d'ici là, toucheront Bagotville, Kingston, Montréal−St-Jean, Ottawa, Petawawa et Valcartier.
Des centaines de travailleurs des bases militaires canadiennes risque de débrayer lundi, car les négociations contractuelles traînent en longueur, selon leur syndicat.
Le syndicat, qui représente le personnel des secteurs de l'alimentation, de la vente au détail, des loisirs et des assurances, réclame des augmentations de salaire et une meilleure sécurité d'emploi. Il souhaite également que les salaires soient uniformisés dans tout le pays afin de garantir que «les travailleurs reçoivent un salaire égal pour un travail égal».
Ce texte est une traduction d'un article de CTV News.
«Beaucoup d'entre eux gagnent à peine le salaire minimum et ont deux emplois pour joindre les deux bouts», a écrit Chris Aylward, président de l'Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC), dans un communiqué de presse publié jeudi.
«Ces travailleurs méritent des salaires équivalents à ceux du reste de la fonction publique fédérale», a-t-il ajouté.
Les grèves qui seront déclenchées lundi, à moins d'une entente à la table de négociation d'ici là, toucheront Bagotville, Kingston, Montréal−St-Jean, Ottawa, Petawawa et Valcartier.
Depuis 2022, les membres de l'AFPC ont organisé des activités de mobilisation sur les bases militaires pour faire entendre leurs doléances en plus d'envoyer des lettres au chef d'état-major de la Défense et au ministre de la Défense nationale.
Avec des informations de Noovo Info.