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Pour cette manifestation, ces syndiqués, membres de l'Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), vont recevoir l'appui d'autres syndicats qui sont aussi affiliés à la FTQ au Québec, notamment du syndicat des Métallos.
La tension monte dans la fonction publique fédérale, alors que des syndiqués de la fonction publique fédérale et de l'Agence du revenu du Canada organisent une dernière manifestation «avant la grève», jeudi à Montréal.
Pour cette manifestation, ces syndiqués, membres de l'Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), vont recevoir l'appui d'autres syndicats qui sont aussi affiliés à la FTQ au Québec, notamment du syndicat des Métallos.
Ils doivent manifester de 9h à 11h30 devant le Complexe Guy-Favreau, au centre-ville de Montréal.
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Dans l'ensemble du pays, ces jours-ci, des milliers de membres de l'AFPC se prononcent sur un mandat de grève, afin d'accroître la pression sur le gouvernement fédéral dans le cadre des négociations pour renouveler les conventions collectives.
Mais l'AFPC-Québec a déjà confié qu'elle ne doutait pas qu'elle obtiendrait un mandat de grève de la part de ses membres, tant à l'Agence du revenu du Canada qu'auprès de ceux qui travaillent au sein de différents ministères et organismes qui relèvent du gouvernement fédéral.
On ignore quelle forme pourrait prendre une éventuelle grève: tournante par région ou bien durant un nombre donné de journées ou bien illimitée. Une éventuelle grève pourrait être déclenchée à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin, a déjà indiqué l'AFPC-Québec.
Advenant une grève, un certain nombre de syndiqués devront assurer les services essentiels. Les syndicats concernés et l'employeur doivent d'abord s'entendre sur ces services essentiels avant que la grève puisse être exercée.
Le litige porte sur les augmentations de salaire, le télétravail et la sous-traitance des emplois de la fonction publique vers le privé.