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À Rouyn-Noranda, la Fonderie Horne demande au gouvernement du Québec un délai supplémentaire de deux semaines pour bien étudier la nouvelle autorisation ministérielle reçue le 26 janvier.
À Rouyn-Noranda, la Fonderie Horne demande au gouvernement du Québec un délai supplémentaire de deux semaines pour bien étudier la nouvelle autorisation ministérielle reçue le 26 janvier.
Dès la réception du document, Glencore a 15 jours pour se prononcer, mais l’entreprise souhaite prolonger cette fenêtre avant de formuler ses commentaires et demandes de modifications.
La Loi sur la qualité de l’Environnement le permet. Les équipes de l’usine sont présentement à pied d'oeuvre, analysant minutieusement la documentation.
La Fonderie Horne indique déjà que cette nouvelle autorisation ministérielle semble beaucoup plus complexe que la dernière émise en 2017.
D’ici là, Glencore poursuit son travail amorcé pour moderniser ses installations et ainsi réduire ses émissions atmosphériques d’arsenic dans l’air ambiant de Rouyn-Noranda.
AERIS, ce projet majeur de la Fonderie Horne pour réduire ses émissions d'arsenic dans l'air ambiant, est mise en marche à Rouyn-Noranda.
Les équipes viennent tout juste de compléter les travaux de remblayage, la première de sept phases visant à préparer le site.
Après deux mois de travail, 90 000 tonnes d'agrégats, un fragment de roche, ont été étalées sur le site afin de stabiliser le sol pour y accueillir éventuellement les infrastructures.