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Ils ont été convoqués par l'ASFC cette fois, en janvier prochain, car l'avis de déportation est toujours en vigueur, dit-on par communiqué.
Après s’être réfugiée pendant une année complète dans une église de Sherbrooke pour éviter d’être déportée vers le Mexique, la famille Rodriguez-Flores a obtenu un sursis du gouvernement canadien pour circuler librement dans la ville jusqu’à ce qu’ils reçoivent une décision finale sur leur statut au Canada.
Georgina, Manuel et leur fils de 19 ans Manolo se sont rendus à l’Agence des Services frontaliers du Canada (ASFC) mercredi matin.
À la suite de ce rendez-vous, les agents ont levé le mandat d’arrestation contre eux, sous certaines conditions. La famille Rodriguez-Flores peut maintenant circuler librement dans les rues de Sherbrooke.
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Ils ont été convoqués par l’ASFC cette fois, en janvier prochain, car l’avis de déportation est toujours en vigueur, dit-on par communiqué.
Pour la famille, il s’agit d’une «avancée encourageante». Par voie de communiqué, ils ont remercié les personnes qui les ont soutenus depuis le début du processus, mais soutiennent «la bataille est gagnée».
Ils espèrent notamment «une intervention du ministre de l’Immigration pour leur accorder la citoyenneté pour des considérations humanitaires».
À VOIR | IMMIGRATION: L'ULTIMATUM DE LA FAMILLE RODRIGUEZ-FLORES