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Le syndicat signale que la décision signifie que plus de 200 postes d’agents de bord seront abolis.
Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui représente la vaste majorité des agents de bord au Canada, se dit consterné par la nouvelle de la fermeture de la base d’Air Transat à l’aéroport de Vancouver.
Le syndicat signale que la décision signifie que plus de 200 postes d’agents de bord seront abolis.
Ces agents de bord auront toutefois la possibilité d’être réaffectés aux bases de Montréal et de Toronto du transporteur aérien. Le SCFP affirme qu’il va s’affairer à négocier avec l’employeur des indemnités de départ adéquates pour ses membres qui perdront leur emploi, de même que des aides, dont des allocations de déménagement, pour ceux qui changeront de base.
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Dominic Levasseur, président de la composante Air Transat du SCFP, affirme que les impératifs économiques qui ont forcé Air Transat à prendre cette décision sont compréhensibles.
Cependant, il signale que la plupart des syndiqués de Vancouver ont dédié des dizaines d’années de services à la compagnie. Il estime qu’Air Transat doit assumer ses responsabilités face à ses employés qu’il mettra à pied ou transférera à des milliers de kilomètres.
Outre ceux d’Air Transat, le SCFP représente plus de 18 500 agents de bord chez une multitude de transporteurs aériens du Canada, dont ceux d’Air Canada, de Sunwing, de WestJet et de Pascan Aviation.