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Le ministère fédéral des Anciens Combattants a mis fin à son enquête sur des allégations selon lesquelles d'anciens militaires se seraient vu offrir l'aide médicale à mourir.
Le ministère fédéral des Anciens Combattants a mis fin à son enquête sur des allégations selon lesquelles d'anciens militaires se seraient vu offrir l'aide médicale à mourir.
Le ministère affirme dans un rapport final publié vendredi que le problème était «isolé» à un seul employé, qui a proposé l'aide à mourir comme option à quatre anciens combattants.
L'affaire est d'ailleurs entre les mains de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), a indiqué le ministre des Anciens Combattants, Lawrence MacAulay.
Le ministère dit avoir examiné des centaines de milliers de dossiers et assuré un suivi auprès de centaines d'anciens militaires et de membres de leur famille dans le cadre de son enquête.
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Il a offert de nouvelles directives et une nouvelle formation interdisant au personnel de mentionner l'aide médicale à mourir comme une option.
Les employés peuvent parler des avantages et du soutien disponible si un ancien combattant a choisi l'aide médicale à mourir. Toutefois, le personnel doit autrement rediriger les anciens combattants à leurs principaux fournisseurs de soins de santé.
«Comme je le dis depuis le tout début, ce qui est arrivé à ces vétérans est absolument inacceptable. Le rapport confirme clairement que ces quatre cas ne concernaient qu'un seul employé, a déclaré le ministre MacAulay. Notre personnel de première ligne est entièrement dévoué aux vétérans qu'il sert jour après jour et a à cœur leur bien-être.»