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ANALYSE | «C’est une grosse décision. C’est une décision qui pourrait avoir une portée historique. C’est une cause qui transcende Alexandre Bissonnette».
La Cour suprême du Canada, le plus haut tribunal au pays, est revenue sur la sentence du tueur de la mosquée de Québec, Alexandre Bissonnette, qui devra purger 25 ans en prison avant de pouvoir demander la libération conditionnelle.
Cette nouvelle décision modifie la première conclusion sur la sentence du tireur selon laquelle il devait passer 40 ans derrière les barreaux.
Ce revirement de la Cour suprême pourrait être considéré comme une «décision historique», selon l’avocat-criminaliste Walid Hijazi.
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«C’est une grosse décision. C’est une décision qui pourrait avoir une portée historique. C’est une cause qui transcende Alexandre Bissonnette. C’est une décision qui nous ramène aux principes de base fondamentaux du droit criminel canadien», a dit M. Hijazi en entrevue avec l’animatrice Noémi Merci au bulletin Noovo Le Fil 17.
Voyez l’entretien entre l’animatrice Noémi Mercier, l’avocat-criminaliste Walid Hijazi et notre collaborateur Yves Boisvert dans la vidéo.