Début du contenu principal.
Le festival Metro Metro fait l’objet de plusieurs critiques, dont certaines virulentes, qui ont déploré le manque d’encadrement et d’agents de sécurité lors de l’évènement. Luc Ferrandez est d'avis que la foule est à blâmer.
Le festival Metro Metro fait l’objet de plusieurs critiques, dont certaines virulentes, qui ont déploré le manque d’encadrement et d’agents de sécurité lors de l’évènement en raison de mouvement de foule, de clôtures renversées, de bagarres et d'altercations avec des policiers.
En entrevue lundi au bulletin Noovo Le Fil 22 avec Étienne Fortin-Gauthier, Luc Ferrandez estime que la sécurité n’est pas à blâmer à 100% et qu’il faut pointer du doigt les spectateurs.
«La foule s’est comportée de façon odieuse», estime Luc Ferrandez.
À lire également : Plusieurs controverses pour le festival Metro Metro
«Si ça attire ce genre de personnes-là, il n’y aura plus ce genre d’évènement là. Point final», déplore-t-il.
Le SPVM a d’ailleurs fait savoir que ses agents ont procédé à cinq arrestations en plus de l’ouverture d’une enquête afin de retrouver l’auteur d’une agression armée contre un policier survenue pendant le festival.
L’organisateur du festival Metro Metro, Olivier Primeau, doit faire le point sur les activités du week-end au cours de la journée de mardi.
La mairesse de la Ville de Montréal, Valérie Plante, doit aussi faire un bilan de l’évènement.
Voyez l'entrevue complète de Luc Ferrandez au bulletin Noovo le Fil 22 dans la vidéo ci-dessus.