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Mouvement Québec pourrait offrir une plateforme pour la communauté anglophone, selon l'analyste Yves Boisvert.
Après avoir tenté sa chance en politique municipale pour la mairie de Montréal lors des élections du 8 novembre dernier, Balarama Holness se lance en politique provinciale avec la création d’un nouveau parti, Mouvement Québec.
Malgré le fait qu’il est peu connu sur cette scène politique, il faut prendre le parti de M. Holness au sérieux, selon l’analyste politique Yves Boisvert. Mouvement Québec pourrait offrir une option pour la communauté anglophone.
Voyez l’entrevue complète de Noémi Mercier dans la vidéo.
«C’est surtout le projet de loi 96 qui vient renforcer la loi 101 avec plusieurs mesures qui sont très contestées dans la communauté anglophone et c’est comme s’il n’y avait personne pour les représenter à l’Assemblée nationale», soutient M. Boisvert en entrevue avec l’animatrice Noémi Mercier au bulletin Noovo Le Fil 17.
De son côté, le Parti libéral du Québec (PLQ) a choisi un virage nationaliste depuis l’arrivée de la cheffe Dominique Anglade, toujours selon l’analyste. Il ajoute que cette correction est une réponse aux critiques du passé envers un PLQ qui ne défendait que timidement la langue française.
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